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Le canton d'Appenzell Rhodes-Intérieures tire son nom de l'ancien canton d'Appenzell, dont il est issu. Appenzell, le village ayant donné son nom au pays, est mentionné pour la première fois en 1071 sous le nom d'Abbacella, puis en 1223 sous celui d’Abbatiscella, puis enfin Abtenzelle, signifiant « la retraite de l’abbé », faisant référence à une résidence secondaire de l'abbé de Saint-Gall.
Le canton d'Appenzell était subdivisé en rhodes. Lors de la séparation du canton en deux demi-cantons en 1597, Appenzell Rhodes-Intérieures fut formé à partir des rhodes catholiques.
Le canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures tire son nom de l'ancien canton d'Appenzell, dont il est issu. Appenzell, le village ayant donné son nom au pays, est mentionné pour la première fois en 1071 sous le nom d'Abbacella, puis en 1223 sous celui d’Abbatiscella, puis enfin Abtenzelle, signifiant « la retraite de l’abbé », faisant référence à une résidence secondaire de l'abbé de Saint-Gall.
Ruine d'un important château fort (comm. Appenzell), au sommet d'une colline du Lehn, avec vue sur la cuvette d'Appenzell. Mentionné pour la première fois en 1219 et souvent appelé château d'Appenzell. L'abbé de Saint-Gall Ulrich von Sax (1204-1220) et son frère Heinrich, avoué de l'abbaye, l'édifièrent et lui donnèrent le nom d'une de leurs propriétés dans le val Calanca. Centre des biens abbatiaux à Appenzell, C. prit une importance considérable. En 1949, on exhuma les fondations d'une puissante tour carrée et d'une autre plus petite située au point le plus élevé, des parties du mur d'enceinte et des traces probables du logis. La plupart de ces vestiges sont sans doute postérieurs aux destructions subies en 1289. En 1402, les Saint-Gallois et les Appenzellois rasèrent définitivement le château.
Les vestiges du château de Rosenberg couronnent une colline aux pentes abruptes dominant la route qui autrefois reliait Hérisau à Saint-Gall. Ce sont les restes d'une habitation dont les murs mesuraient à leur base quelque trois mètres d'épaisseur.
Aujourd'hui, ils s'élèvent encore en partie jusqu'à neuf mètres. Le plan, dicté par les conditions topographiques, n'est pas carré; ses côtés mesurent 19 et 20 mètres. L'assemblage angulaire présente de gros moellons. Comme seules les arêtes verticales ont été équarries, les bossages sont posés directement les uns sur les autres.
Ont de plus subsisté une entrée tardive pratiquée au niveau du sol du côté sud et deux meurtrières d'origine s'élargissant vers l'intérieur, l'une dans la face nord, l'autre dans celle du sud. Les amorces d'une enceinte sont visibles à l'angle nordouest. Quant aux enfonçures qu'on remarque dans le sol de poudingue, elles sont sans doute l'indice d'un compartimentage de l'ouvrage. Dans ce qui fut la cour, on voit également les restes d'une citerne de 1,2 mètre de diamètre, profonde de 1,6 mètre. Juste devant le côté extérieur de la porte, des trous carrés ont été percés dans le rocher, ils logeaient peut-être les poteaux d'un bâtiment construit ultérieurement. A l'est, deux fossés en auge défendaient l'ouvrage. Les fouilles effectuées sur le plateau entre les fossés, là où l'on pensait que devaient se trouver des annexes de service, n'ont donné aucun résultat. Le château fort de Radegg, près d'Osterfingen, construit selon un plan assez semblable, comprenait lui aussi deux fossés et entre ceux-ci un plateau ménagé dans la roche calcaire. Ici non plus, les recherches n'ont pas permis d'établir l'existence de communs. N'avait-on prévu qu'un enclos pour le bétail ou y eut-il des bâtisses de bois dont il n'est absolument rien resté? Ou les archéologues ne disposaient-ils pas encore des moyens techniques qui leur auraient permis de dépister certains petits détails importants dans le terrain des fouilles? Il est difficile de répondre à ces questions.
Pour ce qui est des ruines de Rosenberg, elles ont été débarrassées de leurs décombres
et les murs ont été consolidés par les soins de l'Association suisse pour la conservation des châteaux et ruines pendant les années trente. Les petits objets en fer et en céramique mis au jour lors de ces travaux sont
exposés au musée d'histoire d'Hérisau. Ils fournissent d'intéressants renseignements sur la façon de vivre des habitants du château aux XIIIe et XIVe siècles. Vers 1200, deux châteaux furent érigés
sur les biens-fonds que l'abbaye de Saint-Gall possédait dans la contrée alors boisée d'Hérisau, le château de Rosenberg et celui de Rosenburg. C'est sur des essarts que s'installèrent les seigneurs de Rorschach, ministériaux
abbatiaux. En faisant déboiser des terres pour pouvoir les cultiver et les administrer, ils voulaient non seulement agrandir leur seigneurie territoriale, mais également affermir leur position. On ignore la date exacte de construction des deux
ouvrages d'Hérisau. La lignée des Rorschach apparaît pour la première fois en 1176 dans les documents, qui font mention de deux frères, Rodolphe et Eglolf. A sa mort, ce dernier se nommait de Rosenberg, tandis que Rodolphe
avait conservé le patronyme de Rorschach. II est donc permis de supposer que peu avant ou peu après la construction du château de Rosenberg (vers 1200), la famille se divisa en plusieurs branches. L'une d'elles garda le nom de Rorschach,
une autre adopta celui de Rosenberg et une troisième celui de Rosenburg, deux noms qui souvent donnèrent lieu à de fâcheuses confusions.
Il n'est pas étonnant que pendant les guerres d'Appenzell, le château de
Rosenberg, base abbatiale, ait été pris d'assaut et incendié. Il n'a jamais été relevé de ses ruines. La seigneurie et le fief, eux, demeurèrent encore quelque temps entre les mains des Rosenberg. En 1415, Rodolphe
fit don de la moitié de sa propriété - l'autre moitié appartenait à ses soeurs Marguerite et Ursule à l'hôpital du Saint-Esprit de Saint-Gall. Un peu plus tard, les deux soeurs aliénèrent leur part
à la commune d'Hérisau. Vers le milieu du XVe siècle, tout le site redevint propriété de l'abbaye, qui le conserva jusqu'en 1803. II passa alors au canton et deux ans plus tard, celui-ci le vendit à des particuliers.
Aujourd'hui, les ruines de Rosenberg appartiennent à la commune bourgeoise.
Le canton de Bâle (en allemand Kanton Basel) est un ancien canton suisse, membre de la Confédération suisse depuis 1501, qui s'est séparé en deux demi-cantons en 1833 : Bâle-Campagne et Bâle-Ville.
Angenstein est un château fort médiéval situé sur le territoire de la commune de Duggingen, en Suisse.
Le château, encore habité et en parfait état de nos jours, se trouve à l'entrée de la dernière cluse de la Birse, dans le district de Laufon, sur un éperon rocheux étroit (le nom du château vient de l'ancien allemand enger Stein qui signifie littéralement pierre étroite) des conforts du massif du Jura.
Les premiers châteaux de la région datent du début du Moyen Âge, construits pour verrouiller l'entrée du Laufonnais et protéger les routes de commerce. De fait, la construction d'Angenstein semble dater de la fin du
e
et a été réalisée par la maison Münch, pour le compte du
XIII
siècle
, il est occupé par plusieurs grandes familles de la région au nom du chapitre de Bâle, en particulier les
-
dont les Münch étaient vassaux.
En 1460, la lignée des Münch s'éteint et la famille Thierstein s'empare du château et le confie à l'un de ses vassaux, alors que la ville de Soleure reçoit alors le droit de s'en servir en cas de nécessité. Le château connait plusieurs destructions et incendies partiels (en particulier à la suite du tremblement de terre de Bâle de 1356) mais est reconstruit plus ou moins rapidement. Pendant la guerre de Trente Ans, il est occupé par les soldats du duc de Saxe-Weimar
De 1557 jusqu'en 1751, le château appartient à la famille Zipper puis à la famille de Grandvillars. Propriété du canton de Bâle-Ville depuis 1951, il a fait l'objet d'importantes restaurations entre 1988 et 1992. Le château est mentionné quasi-quotidiennement dans les médias à cause de la sortie de la semi-autoroute du même nom où se forme un embouteillage presque tous les jours. Dans la région, plusieurs entreprises et organisations sont nommées en référence à Angenstein.
Burg Birseck (également appelé Ruine Birseck ou Schloss Birseck) est un château fort situé sur le territoire de la commune d'Arlesheim, en Suisse.
Le château, originellement appelé untere ou Vorder Burg, est le plus septentrional des quatre châteaux médiévaux situés sur la colline du Birseck. Le plus méridional est aujourd'hui appelé Burg Reichenstein alors que les deux châteaux centraux ne sont plus que des ruines présentant quelques portions de murs et de tours.
L'origine du château remonte à l'année 1200 lorsque la famille Grafen von Frohburg, dans son expansion en direction du sud, fait construire les châteaux du Birseck pour consolider les flancs de son territoire.
, les trois châteaux sont absorbés par l'
et Burg Birseck devient l'une des résidences des
e
de
. À la fin du
y est logé par l'évêque Heinrich von Neuenburg. Le château est durement touché lors du
XIII
siècle
, le
En
à la suite de quoi il est confié au
du diocèse.
est hypothéqué à la famille Ramstein de
à
XVe
et
XVII
e
siècles
, il est à nouveau utilisé comme résidence par l'évêque
lorsqu'il mène la contre-réforme dans la région. Ses successeurs s'y réfugient pendant la
, abandonnant leur résidence principale menacée de
Reconstruit et restauré au
Par la suite, au cours du
e
siècle
, le château est laissé à l'abandon, a tel point que le
XVIII
Karl von Andlau fait déplacer le siège du bailliage du château au village en
. En
, il est partiellement brûlé par les paysans en révolte, puis, l'année suivante, vendu aux enchères avant d'être utilisé comme carrière.
Landvogt
, les ruines sont achetées par Conrad von Andlau, le fils de Karl, qui le restaure totalement. Le château, inscrit comme
, est aujourd'hui la propriété de la
Stiftung Ermitage Arlesheim und Schloss Birseck
qui possède et gère ég
e
siècle situé sur le territoire de la commune d'
Burg Reichenstein
est un
néoféodal du
X
En
néoféodal du
X
e
Burg Reichenstein est un
Vu de l'extérieur du château Burg Reichenstein
République et canton de Genève
est un
La
de
490 578 habitants
, successeur de la
indépendante depuis le
XVI
e
siècle jusqu'à son intégration dans la
Le canton de Genève recouvre son indépendance le 31 décembre 1813 après la défaite des armées de
er
Napoléon
I
Situé à l'extrémité occidentale de la
, au bout du
, ce canton partage plus de 95 % de ses frontières avec la
(
103
si l'on exclut les frontières dans le
contre
4,5
Il est entouré des départements de l'Ain à l'ouest, et de la Haute-Savoie à l'est et au sud, ainsi que du canton de Vaud au nord, dans lequel est enclavée la commune genevoise de Céligny.
On donne le nom de cuvette genevoise à cette région ciselée en trois cadrans par le lac Léman dont les pierres du Niton servent à mesurer l’altitude (373,6 mètres), le Rhône, et l’Arve provenant du massif du Mont-Blanc via la vallée de l'Arve.
XV
e
siècle
au
XVI
e
siècle
à la famille Journal, de Collonge. Il a été à l'origine d'une grave crise diplomatique entre les
et
: quelques années après
Le château a été construit entre 1668 et 1672 sur des parcelles appartenant du
et malgré la signature du
, les relations entre les deux entités restaient en effet mauvaises.
Dans ce cadre, la décision de Genève d'augmenter l'impôt sur le sel transporté par le lac Léman entre la Bourgogne et la Savoie provoque la colère des Savoyards. Le duc de Savoie Charles-Emmanuel II de Savoie décide alors de faire construire un dépôt de sel sur ses propres terres afin que les transports puissent contourner Genève.
Cependant, le bâtiment construit dès 1666 ressemble rapidement plus à un château fort qu'à un simple dépôt de sel, en particulier avec ses deux tours, son port fermé par des chaînes et ses pièces d'artillerie. Cette construction, que tant Genève que Berne considèrent comme une violation du traité de Saint-Julien interdisant toute fortification aux abords de la ville de Genève ; la tension ne diminuera qu'après la mort du duc Charles-Emmanuel II et la décision de son successeur Victor-Amédée II de Savoie de modifier les plans du bâtiment pour le rendre plus conforme à sa destination de simple grenier fortifié.
Devenu domaine national en 1789 lors de la révolution française, le château fut vendu à des particuliers. Il est inscrit comme bien culturel d'importance nationale et est, depuis 2003, la propriété des héritiers du prince Sadruddin Aga Khan, ancien Haut commissaire aux réfugiés auprès de l'Organisation des Nations unies.
Le Château de Bossey est un centre de formation et de conférences occupant un bâtiment historique rénové du XVIIIe siècle doté d'une tour médiévale ainsi que d'un grand jardin avec vue sur le lac Léman et les Alpes. Il propose une connexion Wi-Fi gratuite et plusieurs salles spacieuses pour accueillir vos réunions et événements.
Adresse :
Chemin Chenevière 2,
1279 Bogis-Bossey, Suisse
Le château de Dardagny est un château genevois située sur le territoire de la commune de Dardagny, en Suisse.
e
e
Entre le
XIII
siècle
et le
XVII
siècle
, deux maisons fortes séparées par une ruelles se dressaient sur les lieux du château actuel. Ce n'est que dans la seconde moitié du
e
XVII
siècle qu'elles sont réunies entre les mains du même propriétaire, puis physiquement reliées par une galerie et une tour d'escalier à vis.
Le nouveau château passe ensuite entre les mains de plusieurs propriétaires, parmi lesquels la famille Lullin ; en 1721, il est acheté par le hollandais Jean Vasserot dont le fils et héritier transforme totalement le bâtiment.
En 1780 & 1781, un orgue y est installé par les frères Nicolas & Jean-Jacques Scherrer, dans la salle des Chevaliers, pour le propriétaire du moment, Jacques-Antoine Horngacher.
Le château passe encore entre les mains de Jean-Louis Fazy, frère de James et du compositeur Charles Bovy-Lysberg. En 1904, la commune rachète le bâtiment dans le but de le démolir pour le remplacer par une école. Devant les protestations, la municipalité change d'avis et le transforme en bâtiment communal et en école.
Le château est une très belle demeure du XVIIIe siècle, avec de chaque côté deux dépendances, de construction plus récente. L'annexe de gauche, nommée salle de musique, a connu une vie musicale assez intense lorsque le pianiste et compositeur Ernest Schelling y vivait.
Le domaine occupe une surface d'environ 60'000m2 dont un tiers est constitué de jardins d'agrément, traversé par un ruisseau qui alimente différentes pièces d'eau, cascades et fontaines.
Le château vécu une vie intense lors des belles soirées d'été à la fin du XIXe siècle où il n'était pas rare d'entre Paderewski et Schelling jouer dans le salon de musique.
château d'Hermance
, dont il ne reste aujourd'hui qu'un
, remonte sans doute au
e
XIII
siècle et se trouve sur la
d'
, dans le
, sur la rive sud du
Le
Le château de Penthes est situé dans la campagne genevoise près de la Genève internationale, sur le territoire de la commune de Pregny-Chambésy dans le canton de Genève. Au cours des siècles, Penthes a changé de localité à maintes reprises jusqu'à ce que Pregny-Chambésy deviennent finalement un territoire genevois en 1815.
Le château se dresse au milieu d'un jardin public vallonné de neuf hectares appelé communément le parc de l'Impératrice en l'honneur de Joséphine de Beauharnais qui fut propriétaire du château de Pregny la Tour à partir de 1811, un château proche du domaine de Penthes. Ce parc est entretenu par les jardiniers du Conservatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève. Il offre une vue imprenable sur le lac Léman et la chaîne des Alpes.
Au milieu du parc se trouvent les restes d'une souche de Sequoia wellingtonia planté vers 1870, foudroyé lors d'un violent orage le 6 octobre 1993. La souche n'a pas été retirée et constitue l'une des curiosités du parc tant elle est imposante.
Adresse:
Le château de Rouelbeau ou La Bâtie-Cholay, est un ancien château médiéval dont subsistent quelques vestiges à Meinier, dans la campagne genevoise. Ses vestiges maçonnés attestentla base d'un corps de logis rectangulaire flanqué de deux tours d'angle circulaires. Le tout est édifié sur une plate-forme entourée de doubles fossés qu'alimentaient les marais environnants.
Les ruines du château de Rouelbeau ont été classées monument historique en 1921, puis ont été laissées à la merci d'une nature qui a mis en péril la conservation des maçonneries. Un texte, rédigé en 1339, fournit une description très précise d'un bâtiment en bois antérieur au château actuel. Riches de ces informations inédites, les fouilles ont pu être menées de façon à mettre au jour non seulement les vestiges du bâtiment maçonné, mais aussi les différentes structures du château primitif en bois. L’inauguration officielle du site aura lieu au mois de mai 2016.
Et pourtant, la construction d'aujourd'hui recèle encore bien des traces de murs anciens et, dans ses grandes lignes, le plan de la forteresse primitive est facilement reconnaissable. Autres vestiges du premier ouvrage: un fossé sec et, herbu et l'esquisse d'un important donjon carré.
Tournay prit ainsi le caractère d'un élégant manoir. Au XVIIIe siècle, la petite seigneurie de Tournay fut érigée en comté par la maison de Savoie. Voltaire la loua à vie en 1758. Mais comme il y fit donner des représentations théâtrales, il s'attira l'hostilité des calvinistes genevois et préféra aller s'établir à Ferney, où il jouit d'une plus grande liberté de mouvement. La seigneurie de Tournay fut dissoute pendant la Révolution française et aujourd'hui, le château appartient à des particuliers.
La maison forte de Vésenaz, appelée château de Vésenaz, est un bâtiment situé sur le territoire de la commune genevoise de Collonge-Bellerive, en Suisse.
Le château est construit, sur l'emplacement occupé précédemment par plusieurs maisons, par Pierre Curt qui en fait sa demeure en 1448.
Il passe ensuite entre plusieurs mains, parmi lesquelles la veuve du syndic de Genève Nantermet Festi vers 1473, le marchand
, entre 1544 et 1551, ou encore Barthélémy-Robert Vaudenet dès 1697. Entre le
e
e
XVIII
siècle
et la fin du
XX
siècle
lorsqu'il est classé comme monument historique, il devient successivement la propriété de plusieurs familles de Vésenaz.
Le château, qui est en fait une maison fortifiée flanquée d'une tour sur son côté nord. Cette tour, dans laquelle se trouve un escalier à vis, était à l'origine coiffée d'un toit pointu qui fut rasé lors de la réfection de 1892. Il est inscrit comme bien culturel d'importance.
La commanderie de Compesières est une maison forte située au hameau de Compesières sur la commune de Bardonnex, en Suisse. Elle a appartenu à l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
La commanderie est un bien culturel d'importance nationale.
La première mention de la commanderie (alors simple église romane construite sur des fondations romaines et dédiée à saint Sylvestre) remonte à 1270, lorsque l'évêque de Genève Aymon de Cruseilles en fait don à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui y installe un hospice. Entre la
e
fin du
XIVe
et le
début
du
, l'ordre construit, à côté de l'église, une maison-forte qui devient le chef-lieu de la
du Genevois, dans la
XV
siècle
XIII
e
siècle, les Hospitaliers possèdent un hôpital, une maison à deux étages avec une
tour, à Hautevillette (Hauteville-sur-Fier), dans le comté de Genève. La maison reste en activité jusqu'en 1576 avant d'être transformée en ferme.
Depuis le
et
, le château sert de résidence au
. Lors des guerres de la fin du
er
e
XVI
siècle
entre le
, dirigé par
, et Genève,
Charles-Emmanuel
I
de Savoie
Entre
par les belligérants. C'est de cette époque que date le plafond héraldique de la salle des chevaliers qui contient 165 caissons peints de symboles religieux et héraldiques, répartis en 5 travées par les poutres maîtresses de la nef.
intervient pour protéger et sauvegarder le bâtiment, menacé de destruction
À partir de 1617, l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem reprend possession de la commanderie et, jusqu'à la Révolution française procède à plusieurs agrandissements de la maison forte et de l'église, les entourant notamment d'une enceinte bordée de tours rondes. En 1792, lors de l'occupation des troupes françaises, la commanderie est transformée en bien national, ses tours ainsi que le clocher de l'église détruits. Toute mention de l'ordre (armes, symboles) est supprimée, le bâtiment devient une fabrique de salpêtre.
, elle abrite la mairie, l'école et la cure. Si l'église est presque entièrement reconstruite en
et
XX
e
siècle
La commanderie est par la suite vendue à des particuliers, puis à la commune. Dès
Utilisation actuelle
La Commanderie de Compesières en 2015, photo aérienne
La commanderie en 2004
Le château est occupé par la mairie de la commune ainsi que par la cure de l'église attenante.
Depuis
, la commune met à disposition une pièce du château pour le
(ouvert uniquement sur rendez-vous), qui présente, entre autres, une croix peinte du
e
XV
siècle
qui décorait la chapelle de
Derniers commentaires
02.09 | 19:35
Bonsoir,
Est il possible de venir sur le plan d eau avec son propre paddle et d en faire ?
À vous lire
Bien cordialement
Mme sanchez
16.06 | 06:48
Merci à vous pour votre commentaire, c'est vrai que nous avons de belles régions en Alsace et dans les Vosges, et d'ailleurs dans toute la France
04.09 | 07:22
Bonjour
Pour votre question, il vaudrait mieux vous renseigner directement par téléphone au 03 89 55 40 15
Bonne journée à vous
Cordialement
Sylviane
15.06 | 10:49
Merci pour ces merveilleuses photos et vidéos, ca me donne des idées pour mon prochain séjour dans les Vosges.